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Sorties 2022
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Randonnée du samedi 30 avril 2022 : les gorges du Rif, jusqu’au Collet par la Combe de Maytavec une petite incursion à l’ancien Fort des Martins.
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3
Nous étions 4 pour cette très belle randonnée, très belle et très très chaude. Nous avons accueilli avec bonheur l'eau fraîche du lavoir de Sainte-Luce à notre retour.
Beaucoup de fleurs, et une vue à 360 degrés à couper le souffle au sommet du Chauvet sur le Vercors, les Ecrins, L'Oisans, le Dévoluy.
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5
Pour cette rando de Giers à Saint-Disdier en passant par le Collet et le puits des bans, nous étions 5.
Le temps un peu voilé nous a protégés de la grosse grosse chaleur. Un peu de tâtonnement à la traversée de la Souloise en-dessous de Giers, puis tranquille jusqu'au Collet où nous avons secouru un crapaud coincé au fond de la fontaine. La portion entre le Collet et le puits des bans ne s'adresse pas à tout le monde, c'est aérien et il y a des portions de désescalade avec lignes de vie et échelles métalliques, très bien équipées, mais pas pour les personnes sujettes au vertige.
4 heures en tout, à un pas très très cool.
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4
Pour cette rando du Glaizil à Lesdiguières par le sentier de la Valgaude nous étions 3.
3 heures en tout, aucune difficulté technique, si ce n'est une descente raide sur la fin. Des paysages magnifiques, des fleurs, dont des lys Martagon, du muguet avec encore quelques clochettes par endroit, et les premières fraises des bois, miam!
Très agréable balade, familiale.
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4
Le Pic de Bure - 22 août 2022 - Nous étions 7. Nous avons laissé une voiture à l'entrée du village de la Cluse et en avons pris deux autres pour nous rendre au point de départ dans la forêt des Sauvas au-dessus du hameau de la Montagne de Montmaur.
Départ à 6H15, avec le lever du jour qui commençait à poindre. 2 kms de piste environ jusqu'à un tournant en épingle duquel démarre un petit sentier un peu en pente, qui va rejoindre le GR 94 1 km plus loin, avec une jolie petite portion en corniche. Le lever de soleil sur la tête de Pra Arnaud, les couleurs orange irisé sur la vallée de Veynes. Suit une montée en pierrier, dans un sentier bien tracé jusqu'à la fontaine du vallon où nous faisons une petite pause boisson et grignotte sur les troncs d'arbres penchés, et nous repartons pour une longue, longue, longue montée en pierrier, sentier bien tracé puis marches de pierres puis re-sentier jusqu'au col sur le plateau de Bure. Dèjà quelques chamois observés au cours de la montée, un autre groupe de 4 sur la crête en bordure du plateau. Deux d'entre nous avaient déjà pris le large depuis un bon moment et étaient presque au sommet du pic de Bure, deux autres s'y sont rendues, et trois sont restés au col pour profiter d'une collation.
Le temps est splendide, sans vent, le ciel d'une pureté totale, et la vue au col nous emporte de la barre des écrins au nord-est au mont Ventoux au sud-ouest. Après rassemblement de la troupe, traversée du plateau le long de la route des antennes, pique-nique au départ de la combe de mai, magnifique, des fossiles de fougères à nos pieds, deux planeurs dans le ciel, et nous nous dirigeons tout au bout du plateau pour trouver le départ de la combe de la Cluse, où nous avons la chance de voir un groupe de quelques mouflons.
Très longue descente en éboulis instables, ni gros ni fins, avec de temps en temps des petits passages herbeux fort appréciés, et un paysage minéral d'une beauté à couper le souffle de chaque côté. Et là des troupeaux de chamois dans les pierriers sous les falaises. Au bout de trois heures de descente nous retrouvons la forêt, presque jusqu'à l'arrivée. Nous avons pu vérifier l'importance des bâtons à la descente et l'importance encore plus grande d'avoir au moins deux litres et demi d'eau par personne pour cette randonnée.
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4
Les chorums du plateau d’Aurouze. Nous étions 7. Nous avons pris le télésiège du Jas à 10H00. Arrivés au sommet nous sommes d'abord allés voir les retenues collinaires, dont une était vide et l'autre à moitié pleine. Nous avons ensuite fait une longue traversée en oblique jusqu'à traverser au-delà des pylônes de la Festoure, Cueillette de myrtilles, abondantes mais plutôt sèches en raison du manque d'eau. Puis nous sommes revenus dans le vallon "la fille", jusqu'au chorum "la fille", protégé par grilles et tôles. Pique-nique à l'ancienne cabane ESF au pied du vallon, puis nous avons rejoint le secteur du VIP pour trouver les trois chorums que nous avions sélectionnés, situés derrière, dans un rayon de quelques centaines de mètres. Redescente par la piste vers SD puis dans les sapins pour bénéficier d'un peu d'ombre. Arrivés à SD à 16H30, en prenant bien le temps de flâner et de profiter de la vue magnifique.
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4
Le col de l’aiguille au-dessus du chalet de Bachilianne (forêt domaniale de l’Obiou). Aller-retour
Montée en voiture par la piste qui démarre après le tournant des Achard entre La croix de la Pigne et Cordéac, jusqu’à un petit parking. Ensuite il faut 20 mn de montée pour atteindre le chalet, et ensuite encore 250 m de dénivellé pour atteindre le col. En tout 600 m de dénivellé positif, idem en négatif. Longueur approximative 8 kms.
Pour les plus courageux poursuite jusqu’à la tête de l’aiguille (70 m de dénivelé de plus). La vue en haut sur la casse de l’Obiou est époustouflante.
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3
Nous étions trois à braver les moins dix degrés du matin. Heureusement le temps était idéal, beau et sec, sans vent.
Nous avons chaussé les raquettes à environ 1300 m d'altitude. Comme Jean-Louis et Evelyne souhaitaient retrouver le chemin des falaises du Clôt de Mounard, nous avons finalement fait le circuit Villard-Joly -falaises-Pierre Baudinard et retour à Villard-Joly par le Serre Juan. Une belle boucle de 4 heures, avec de la féérie givrée un peu partout, et la joie de voir 4 chamois sous les aiguilles en-face des falaises du Clôt de Mounard. Un peu loin pour apparaître de façon satisfaisante sur les photos, mais un régal pour les yeux partout.